Mon
bon maître, Toi qui admire tant ma parure Et caresses
ma fourure, Respectes veux-tu mes habitues Et
parfois ma solitude.
Ne
me traite pas en esclave, Tu ferais de moi une épave.
Ne
me prends pas pour n'importe qui Car je suis ton
ami.
N'oublies
pas de m'aimer Et je saurai t'aimer, Et je deviendrai
câlin, Quand tu me prendras dans tes mains.
Dernière
mise à jour le 01.05.2009
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